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réponse
Bravo pour vos réponses... mais ce que je voulais voir surtout, c'est que ce sont surtout des cadavres exécutés par les hautes oeuvres !!!!
Mais que faisait-il des restes ? pas de déchets recyclable, le handburger ni les croquettes n'existaient en France (encore moins le surimi)... mais c'est vrai qu'il y en a un , il a une bonne tête de veau !
bon appétit
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Commentaires
Demain nous fêterons la boucherie de la grande guerre ton illustration est bien pâle à côté de toutes ces horreurs bonne journée bises
coucou, ben après ma absence je vois que j'ai perdu...quelque chose, le tableau n'est pas très beau, très bon lundi, bises,caty
Bonjour Louvrard, aie ! je suis tombé sur la réponse avant la question ! Oh !! Tu évoques le célèbre et magnifique tableau de Géricault "Le radeau de la méduse". Tu sais que c'est l'un des mes préférés au monde ce chef d'oeuvre là ? Une toile sublime et à voir en grand dans un musée !!
je suis bien content que le CD "Heureux Pêcheur" te plaise. dis moi, quelle est la chanson que tu n'aimes pas? çà m'intrigue .. Bon lundi !!!
Les conditions de vie des « exécuteurs des hautes œuvres » (comme ils étaient parfois nommés) n'étaient guère enviables. À la fois craint et méprisé, le bourreau était souvent contraint de résider en dehors des villes, vivant en paria et exerçant fréquemment des métiers en rapport avec les cadavres et la mort (équarrisseur, croque-mort, fossoyeur, etc.). Toutefois, ils jouissaient des revenus de certaines taxes -ainsi du droit de havage et de la possibilité de revendre tout ou partie des corps des suppliciés (plus ou moins légalement) à des médecins et alchimistes selon une tradition remontant à l’Ancien Régime qui voulait que la dépouille leur appartenait. Suite au scandale d'Henri Pranzini, guillotiné en 1897 et dont la peau après sa dissection publique fut utilisée pour faire des portefeuilles et des porte-cartes, les condamnés en France purent demander à obtenir la libre disposition de leur corps post-mortem.
A pluche.
3slobodaneLundi 9 Novembre 2015 à 10:07tu deviens trop morbide, et c'est pas bon pour toi si dépressif, bon lundi quand même avec douceur et soleil de chez nini
Pas appétissant le dessin après avoir bu son café ! Je comprends ta question mais je n'ai pas de réponses. Bon lundi !
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coucou Loulou, je te souhaite un bon 11 novembre, anniversaire, si l'on peut dire de la fin de cette boucherie innommable à ne pas oublier